Le chroniqueur et animateur Richard Martineau poursuit Ricochet ainsi que notre collaborateur Marc-André Cyr et le caricaturiste Alexandre Fatta en diffamation à la suite de la publication d’un texte satirique. Au lieu de contacter Ricochet au moment des faits, il a préféré porter le débat devant les tribunaux.

Le montant qu’il réclame est énorme : 350 000$.

Ce n’est pas par gaieté de cœur que nous nous préparons à aller en cour, mais cette cause dépasse Ricochet. C’est la liberté de presse qui est en jeu, ce principe fondamental qui protège, au Québec et ailleurs, l’existence d’une presse libre, critique et indépendante. La bataille qui s’annonce créera un précédent.

Nous allons tout faire pour la gagner.

Ricochet est financé par son lectorat. Nous avons la chance de travailler avec une équipe extrêmement compétente, mais nous ne pouvons pas compter sur les départements juridiques des grands journaux. Les frais judiciaires et les dépenses occasionnées par la défense commencent déjà à s’empiler.

La bataille qui s’annonce créera un précédent. Nous allons tout faire pour la gagner.

Ce n’est pas la première fois que la liberté de presse est remise en cause devant les tribunaux. Un procès comme celui-ci est extrêmement long et coûteux. Il menace l’existence même de Ricochet.

Sans appui institutionnel, Ricochet a publié plus de 1 500 textes consultés près de trois millions de fois aux quatre coins de la planète. Un nombre incalculable d’idées reçues ont été ébranlées dans nos pages. Depuis deux ans, nous donnons une voix à ceux et celles qui n’en ont pas.

Garder notre voix, c’est nous permettre de défendre la vôtre. Même si c’est la première fois que vous entendez parler de notre travail, votre appui compte. Nous avons besoin de 50 000$ pour défendre la liberté de presse devant les tribunaux – et rappeler à Richard Martineau que même lui n’échappe pas à la critique.

Faites un don ci-dessous, partagez cette page ou – mieux encore! – devenez membre de Ricochet dès aujourd’hui. Merci, 350 000 fois.